OENO
sur photo de Fred Atax

OENO
Dès la fin des années 80, Oeno s’impose dans le métro et dans les rues de Paris par la multiplication incessante de son pseudonyme sous toutes ses formes. De l’encre à la bombe, il expédie en masse les wagons de la RATP à la casse, jusqu’au très médiatique bombage de la station Louvre, acte ultime du vandalisme en Europe qui le consacrera à jamais dans la légende du graffiti.